Le poisson, qui regorge de nutriments importants comme les protéines, la vitamine D et les acides gras oméga-3, est l’un des aliments naturels les plus sains de la planète. Mais en même temps, certains poissons sont fortement contaminés par des métaux, des produits chimiques toxiques et des pesticides qui peuvent faire des ravages sur votre santé. En outre, des pratiques de pêche avides et destructrices ont entraîné la surpêche et l’exploitation de plusieurs populations de poissons au point d’altérer l’ensemble de l’écosystème marin.

Déterminer quels fruits de mer sont bons pour vous et pour l’environnement peut être déroutant, c’est pourquoi nous avons élaboré ce guide rapide pour vous. Selon nos pro en livraison champagne Caviar et fruit de mer a Lyon, voici trois poissons qui ne devraient jamais faire partie d’un régime alimentaire sain.

TILAPIA

Si vous vous demandez pourquoi le tilapia est mauvais pour la santé alors qu’il est l’un des fruits de mer les plus consommés aux États-Unis, voici quelques informations sur ce poisson d’eau douce à la saveur douce.

POURQUOI LE TILAPIA EST-IL MAUVAIS POUR LA SANTÉ ?

Il existe un certain nombre de raisons pour lesquelles vous ne devriez jamais manger de tilapia. Le tilapia contient très peu d’acides gras oméga-3 sains, mais des niveaux élevés d’acides gras oméga-6 qui peuvent aggraver les états inflammatoires lorsqu’ils sont consommés en excès. Le tilapia peut être un choix alimentaire extrêmement malsain pour les personnes souffrant de maladies cardiaques, d’arthrite, d’asthme et d’autres troubles auto-immuns. Une portion moyenne de tilapia d’élevage a un potentiel inflammatoire plus élevé que le hamburger ou le bacon de porc.

Si vous cherchez d’autres raisons pour lesquelles le tilapia est mauvais pour la santé, sachez que le tilapia d’élevage de certaines régions contient des niveaux élevés de mercure, d’antibiotiques, d’antimicrobiens et d’autres produits chimiques, dont une substance cancérigène appelée dioxine. La dioxine peut rester dans votre corps pendant de nombreuses années et augmenter votre risque de développer un cancer, tandis que l’exposition au mercure est particulièrement dangereuse pour les femmes enceintes, les mères allaitantes et les jeunes enfants. Le poisson contaminé est l’une des sources les plus importantes d’exposition au mercure par ingestion chez les êtres humains.

LE POISSON MORUE DE L’ATLANTIQUE

Les premiers Européens à atteindre l’Amérique du Nord étaient des pêcheurs qui ont suivi la population de morue dans l’Atlantique Nord. Pendant longtemps, la pêche à la morue de l’Atlantique a été florissante et a soutenu l’économie côtière de l’Amérique du Nord. Cependant, des années de surpêche et de pratiques incompétentes ont fait payer un lourd tribut à la population de morue de l’Atlantique, qui a connu une chute spectaculaire dans les années 1990. L’effondrement de la pêche à la morue de l’Atlantique a non seulement mis des milliers de personnes au chômage, mais a également conduit cette espèce de poisson populaire au bord de l’extinction et a provoqué des changements fondamentaux dans les réseaux alimentaires de l’Atlantique Nord.

POURQUOI IL NE FAUT PAS MANGER DE MORUE DE L’ATLANTIQUE

Malgré un moratoire sur la pêche au cabillaud de l’Atlantique, le chalutage d’autres espèces de poissons dans la région continue de nuire aux efforts de reconstitution des populations de cabillaud, ce qui fait que le cabillaud de l’Atlantique est toujours très proche de l’extinction. Si vous ne pouvez pas vous passer de votre approvisionnement régulier en poissons et frites (ils sont presque toujours faits avec du cabillaud !), vous devriez éviter le cabillaud de l’Atlantique Nord et choisir plutôt d’autres poissons blancs comme le cabillaud du Pacifique, qui a une forte population en Alaska.

LE FILET

Le flet est un poisson plat dont les deux yeux se trouvent sur un côté de la tête. Bien qu’il ait une texture ferme et un goût doux et sucré, sa consommation n’est bonne ni pour vous ni pour l’environnement.

POURQUOI IL NE FAUT PAS MANGER DE FLET DE L’ATLANTIQUE

Le flet se retrouve sur la liste des poissons à ne jamais manger en raison de son niveau élevé de contamination et de la diminution radicale de sa population, due à des centaines d’années de surpêche. Cela est particulièrement vrai pour le flet pêché au large de la côte atlantique. Dans les années 1980, plus de 75 % des flets d’hiver pêchés à Boston présentaient des symptômes de tumeurs cancéreuses et de maladies du foie. Des années d’efforts correctifs ont permis d’améliorer considérablement la santé des flets ces derniers temps, mais il reste encore beaucoup de chemin à parcourir.

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